Dans
ce précédent article, j’ai parlé du fait que le monde n’est pas tout à
fait plat et que certains endroits sont hérissées, comparées à d’autres :
en premier lieu l’enseignement supérieur. Aujourd’hui je vais parler
d’une autre partie de cette disparité, et la facon dont cela affecte un
nombre important de pays.
Car
cette division touche aussi d’autres domaines, et génère parfois un
cercle vicieux. Même si le but pour les pays en voie de développement
est évidemment de développer leur économie, ce qui induit qu’ils possède
un terrain propice pour des investissements sur le long-terme, leur
développement reste lent. Les investisseurs n’ont pas l’air de
comprendre l’importance d’investir dans ces pays. Par exemple, il y a
quelques jours est entré dans le saint des saints du monde capitaliste :
la Bourse (via son introduction en bourse) ; auparavant, Facebook était
financé par des entreprises et investisseurs privés. Des milliards de
dollars ont été investis dans le compagnie, et même si ce n’est pas
autant que ce qui avait été prévu, cela reste une montagne d’argent. Il
est aussi important de savoir que, d’après Marck Zuckerberg, Facebook
n’avait pas besoin de cet argent. Pourtant le département américain de
la régulation du commerce a “forcé” Facebook a faire son entrée en
bourse afin de clarifier son statut.
Au
final, tout cet investissement aurait pu être réparti sur de nombreux
petits projets à travers le monde. Cela aurait bâti plusieurs nouvelles
entreprises avec une stimulation considérable du marché mondiale, tout
en rapportant un joli, constant et sûr retour sur investissement. Comme
Walter Lamberson a écrit dans son article : ne payez pas pour le mobilier de Facebook, payez pour de nouveaux marchés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire